À chaque fois, c’est un peu la même chose: le monde des brasseries nous trouble parce que c’est confusément ce que l’on attend d’un restaurant. Une atmosphère, de la vie, des gens disparates, un service enjoué, du volume, des rires et une assiette. Celle ci est souvent de guingois, marche à l’envers, se prend les pieds dans le tapis. Mais qu’importe, on est venu juste déjeuner, dîner, passer un moment. Pas se taper la cloche. Les harengs pommes à l’huile ont du répondant, de la générosité; le plat végétarien (un gratin de légumes) est endormi et sans aucun intérêt (16,40€), la crème caramel royale, le vacherin un peu duraille. Les sergents chefs du service actionnent avec sérieux pendant que les […]
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